La retraite est un moment privilégié de la vie : après des années de travail, vient enfin le temps de profiter pleinement de ses journées. Pourtant, beaucoup de personnes constatent que, sans activités régulières, le corps perd vite de sa vitalité et l’énergie diminue. Rester actif après 60 ans n’est pas seulement une question de santé physique : c’est aussi une clé pour préserver le moral, la confiance en soi et la joie de vivre.

Bouger, c’est préserver son autonomie

Avec l’âge, les articulations deviennent plus raides, les muscles perdent en tonus et l’équilibre peut se fragiliser. Maintenir une activité régulière permet de :

• renforcer les muscles et protéger les articulations,

• améliorer l’équilibre et réduire le risque de chutes,

• garder une bonne mobilité pour les gestes du quotidien.

En d’autres termes, bouger c’est rester autonome plus longtemps.

Respirer et se détendre

L’activité physique douce, comme le Tai Chi, la gymnastique adaptée ou la marche, ne se limite pas au mouvement. Elle invite aussi à retrouver une respiration profonde et consciente. Une respiration bien maîtrisée :

• oxygène mieux le corps,

• apaise le stress,

• améliore la concentration et le sommeil.

C’est un atout précieux pour traverser cette nouvelle étape de vie avec sérénité.

Le lien social, une énergie essentielle

Rester actif, c’est aussi rencontrer d’autres personnes. Les cours collectifs, les promenades en groupe ou les activités associatives créent du lien social et rompent l’isolement, souvent redouté à la retraite. Ces moments partagés renforcent la motivation, l’envie de progresser et l’enthousiasme.

Une nouvelle liberté

À la retraite, on a enfin le temps d’explorer des pratiques adaptées à son rythme : arts martiaux doux, yoga, jardinage, danse, marche nordique, ou encore cours séniors au Kenpokan Dojo. L’important est de choisir une activité qui procure du plaisir. Car bouger doit être un moment agréable, pas une contrainte.

En résumé

Rester actif à la retraite, c’est bien plus que “faire du sport”. C’est :

• prendre soin de son corps,

• nourrir son esprit,

• préserver sa vitalité,

• renforcer ses relations humaines.

Chaque pas, chaque respiration consciente est un investissement dans la qualité de vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer – au contraire, c’est souvent le meilleur moment.

C’est l’histoire d’un mec…

C’est l’histoire d’un mec qui s’appelle René.
René Stadelmann, un ami de longue date. On se connaît depuis 1988, époque où l’on usait nos kimonos sur les tatamis de jujitsu, sous l’œil attentif – et parfois redouté – de Maître Gérald Collard. Autant dire que ça fait un bail qu’on transpire ensemble dans les dojos.

Les années ont passé, les disciplines se sont croisées, et en 2001, René est venu suivre le stage de Tekken que je donnais au Kenpokan Dojo. Deux jours intenses, pleins d’échanges et de sueur. Mais voilà : ce dimanche-là, René a dû partir deux heures avant la fin. Résultat, il n’était pas présent à la remise des diplômes. Et moi, dans le feu de l’action, j’ai complètement oublié de lui donner son certificat.

Et puis récemment, le destin nous remet face à face. Au détour d’une discussion, René me raconte qu’il est tombé sur son agenda de 2001. Et là, il me sort la date précise du stage : samedi 30 juin – dimanche 1er juillet. Une vraie madeleine de Proust version budo ! On s’est retrouvés à rire de cette histoire oubliée, comme si le temps n’avait jamais passé.

Alors pour marquer le coup, je lui ai enfin remis son certificat… avec seulement 25 ans de retard ! Comme dirait Coluche : “Mieux vaut tard que jamais… mais faut pas pousser, quand même !”

Finalement, ce qui compte, ce n’est pas le bout de papier, mais les souvenirs, l’amitié et cette passion qui traversent les décennies. Le diplôme, lui, aura simplement mis un quart de siècle à trouver son chemin.

Stage de TantoJutsu du 20.07.25 – Une réussite totale

Ce samedi 20 juillet 2025, le Kenpokan Dojo a organisé un stage de TantoJutsu (combat au couteau) qui a marqué les esprits par la qualité de son contenu technique et l’implication des participants.

Ouvert à tous les pratiquants d’arts martiaux, ce stage a attiré des participants venus de toute la Suisse romande, curieux de découvrir une approche réaliste, cohérente et sans fioritures du combat au couteau. L’accent a été mis sur la fluidité, la mobilité et l’efficacité, avec une pédagogie progressive permettant à chacun d’appliquer rapidement les principes abordés.

Du couteau au corps à corps : une continuité technique assumée

L’un des points forts du stage fut la mise en parallèle entre deux situations extrêmes :

• défense contre couteau… avec un couteau,

• et défense à mains nues contre un couteau.

Tout au long de la séance, les pratiquants ont pu constater que la même logique technique s’applique dans ces deux cas : principes de ligne, contrôle du bras armé, gestion de la distance et des angles.
Cette approche globale, directement issue de l’enseignement du Kenpo, a renforcé la compréhension et la mémorisation des gestes. Elle a surtout permis de faire le lien entre la self-défense armée et non armée, dans une perspective réellement applicable.

De la théorie à la pratique… avec intensité

Une anecdote marquante illustre l’intensité du travail : certains participants issus du karaté ont exprimé leur difficulté à se contenter du contrôle sans frapper. Dans les mises en pratique, l’instinct reprenait parfois le dessus… preuve que le stage était réaliste, engageant, et confrontant. Ces moments ont ouvert la discussion sur le rôle du stress et de la discipline technique dans les arts martiaux modernes.

Une ambiance studieuse, des retours enthousiastes

À l’issue du stage, les retours ont été unanimes :

« Merci pour la clarté des explications et le réalisme des situations. J’ai rarement vu une telle cohérence dans l’enseignement du couteau ! »
« Ce stage m’a donné envie de revoir tout mon travail sur la self-défense ».

Ce type de rendez-vous répond à une demande croissante d’arts martiaux utiles, dynamiques et sans dogmatisme, où la technique s’appuie sur la logique du combat, et non sur la forme extérieure.

(Photos à venir : ambiance, démonstrations, travail en binôme…)

D’autres stages sont prévus dans le courant de l’année

Même si aucune date n’est encore arrêtée, le succès de cette édition appelle naturellement une suite.
Restez connectés au site www.kenpokan-dojo.ch ou envoyez un message WhatsApp au 076 537 59 97 pour être informé des prochaines sessions.

Le Kenpokan Dojo fait peau neuve à la rentrée scolaire !

Chers pratiquants, parents et futurs membres,

À partir de la rentrée scolaire 2025, le Kenpokan Dojo adapte ses horaires pour mieux répondre aux besoins de tous : enfants, ados, adultes… et nouveaux venus !

Voici ce qui change :

• Durée des cours standardisée à 1 heure
  Plus simple, plus intense, plus dynamique !

• PLUS de cours chaque semaine
  Plus d’options pour s’entraîner selon vos disponibilités.

• Horaires revus pour mieux répartir les groupes
  Moins de surcharge, plus de qualité dans l’enseignement.

Les tarifs ne changent pas !
Cela signifie concrètement plus d’heures de pratique pour le même prix. Une vraie valeur ajoutée pour tous les membres, anciens comme nouveaux !

Que vous soyez déjà passionné ou que vous souhaitiez simplement découvrir les arts martiaux dans un cadre sérieux, respectueux et motivant, c’est le moment idéal pour rejoindre le Kenpokan Dojo.

Self-défense, condition physique, discipline, confiance en soi, esprit d’équipe… Venez essayer et ressentez la différence !

De Passage en Suisse pour des vacances, l’actrice Tia Swarbrick a choisi le Kenpokan Dojo pour venir s’entraîner.

Vous l’avez probablement vu dans Hawaii-5-0 ou d’autres films et séries américaines. L’actrice/cascadeur était en vacances en Suisse (notemment à Fribourg) et nous a rendu visite pour une paire d’entraînements avec toute l’équipe.

D’une sympathie à toute épreuve, elle s’est donnée à fond dans l’art du Muay Thaï qu’elle pratique régulièrement. 

Tia tu seras toujours la bienvenue au Kenpokan Dojo.